Foire Aux Questions
VOS QUESTIONS, NOS Réponses
Les panneaux photovoltaïques sont-ils recyclables ?
Les panneaux photovoltaïques sont recyclables à hauteur de 94%, à travers un processus qui peut varier selon les entreprises et les pays.
Picoty Solaire est adhérent à l’organisme Soren (anciennement PV Cycle). Nous nous engageons dans un processus de recyclage des panneaux. Nous assurons la collecte, le transport et le recyclage des panneaux photovoltaïques pour nos clients.
Le processus de recyclage peut être complexe et coûteux en raison de la variété des matériaux et des procédés impliqués. Toutefois, le recyclage des panneaux photovoltaïques est important pour la réduction des déchets électroniques, la préservation des ressources naturelles et la promotion de l’économie circulaire.
Quelle est la durée de vie d’un panneau photovoltaïque ?
La durée de vie d’un panneau solaire photovoltaïque est en moyenne de 30 à 35 ans.
La majorité des fabricants garantissent une performance supérieure à 80 % de la puissance initiale au bout de 25 ans.
Qu'est-ce que le photovoltaïque ?
Le photovoltaïque est une technologie qui permet de transformer la lumière du soleil en électricité grâce à des panneaux composés de cellules en silicium. C’est une solution d’énergie renouvelable, propre et silencieuse. L’électricité produite peut-être directement consommée et/ou revendue sur le réseau.
Puis-je installer des panneaux photovoltaïques sur mon bâtiment ?
Oui, dans la majorité des cas, il est possible d’installer des panneaux solaires sur un bâtiment, à condition que la toiture soit en bon état, suffisamment exposée au soleil (idéalement plein sud) et sans ombrage important. Une étude de faisabilité est réalisée en amont pour valider tous les critères techniques et réglementaires.
Le raccordement est-il payant ?
Le raccordement d’une installation solaire avec vente du surplus est réduit pour le consommateur. Enedis prend les frais à sa charge. En revanche, cette opération est payante en cas de vente totale. Le montant du raccordement des panneaux solaires au réseau dépendra de la complexité de la prestation. Enedis vous enverra un devis.
Est-ce que je vais vraiment faire des économies ?
Oui, installer des panneaux solaires permet de réduire significativement votre facture d’électricité, surtout en autoconsommation. Vous consommez directement l’énergie produite, ce qui diminue vos achats d’électricité sur le réseau. Les économies pouvant atteindre jusqu’à 70 % sur la part autoconsommée.
Quelle est la différence entre autoconsommation et revente ?
L’autoconsommation consiste à utiliser directement l’électricité produite par vos panneaux pour vos besoins, avec ou sans revente du surplus.
La revente totale, en revanche, signifie que toute l’électricité produite est injectée sur le réseau et vendue à un tarif fixé par l’État. Le choix dépend de vos objectifs et de votre profil de consommation pour définir le modèle le plus rentable.
Quel est le temps de retour sur investissement ?
Le temps de retour sur investissement dépend de nombreux facteurs : profil de consommation, tarif d’achat, type d’installation, localisation, etc.
Chez Picoty Solaire, nous réalisons une étude de rentabilité sur mesure afin de déterminer précisément le taux de rentabilité interne (TRI) et les gains économiques attendus pour votre projet.
Est-ce que mon installation produit aussi par temps nuageux ?
Oui, une installation photovoltaïque continue de produire de l’électricité même par temps nuageux, bien que la production soit réduite. La lumière diffuse reste captée par les panneaux, ce qui permet une production de base même sans ensoleillement direct en journée. La nuit, l’installation ne produit pas. En autoconsommation sans batterie de stockage, le réseau public prend le relais.
Quels sont les équipements d'une installation photovoltaïque ?
Une installation photovoltaïque professionnelle se compose principalement de :
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Panneaux solaires : captent l’énergie solaire et la transforment en électricité continue.
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Onduleurs (ou micro-onduleurs) : convertissent l’électricité continue en courant alternatif compatible avec le réseau.
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Structure de fixation : supporte les panneaux sur toiture ou au sol.
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Tableau de protection & câblage : sécurise et relie les équipements.
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Système de supervision : permet de suivre en temps réel la production et le bon fonctionnement de l’installation.
Comment suivre ma production ?
Votre production est suivie en temps réel grâce à notre système de supervision Solar-Log.
Vous disposez d’une interface en ligne intuitive pour consulter à tout moment vos données de production (jour, mois, année) et vérifier les performances de votre installation.
De notre côté, Picoty Solaire supervise également votre centrale afin de détecter rapidement toute anomalie et garantir son bon fonctionnement sur la durée.
Faut-il entretenir mon installation ?
Oui, un entretien régulier est essentiel pour garantir la performance et la longévité de votre installation. Chez Picoty Solaire, nous proposons des contrats de maintenance incluant la supervision, le nettoyage des panneaux, le contrôle des onduleurs et des connexions électriques.
Un bon entretien permet de préserver jusqu’à 5 à 10 % de production supplémentaire chaque année.
Que se passe-t-il en cas de panne ?
En cas de panne, notre système de supervision détecte automatiquement l’anomalie.
Nos équipes techniques interviennent rapidement pour diagnostiquer le problème et effectuer les réparations nécessaires.
Si vous avez souscrit à un contrat de maintenance Picoty Solaire, vous bénéficiez d’une prise en charge prioritaire, avec des interventions préventives et correctives incluses pour assurer la continuité de production.
Puis-je stocker l'électricité produite ?
Oui, il est possible de stocker l’électricité produite grâce à des batteries solaires, ce qui permet d’augmenter votre taux d’autoconsommation et de sécuriser votre approvisionnement. C’est utile lorsque votre consommation ne coïncide pas avec la production et que la revente totale n’est pas envisagée.
Cependant, le stockage n’est pas systématiquement nécessaire pour assurer un bon rendement : dans de nombreux cas, une installation bien dimensionnée sans batterie est plus rentable.
Chez Picoty Solaire, nous évaluons la pertinence du stockage en fonction de votre profil de consommation et de vos objectifs.
Y a-t-il des aides ou subventions disponibles ?
Oui, plusieurs aides financières existent pour les professionnels investissant dans le photovoltaïque :
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En revente totale, vous bénéficiez d’un tarif d’achat subventionné garanti 20 ans par l’État.
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En autoconsommation, une prime à l’investissement est versée selon la puissance de l’installation.
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Des dispositifs locaux ou fiscaux peuvent aussi s’appliquer (amortissements, aides régionales, etc.).
Picoty Solaire vous accompagne dans le montage du dossier pour bénéficier des aides auxquelles vous êtes éligible.
À noter : les tarifs d’achat et les subventions sont révisés chaque trimestre.
Pour rester informé des conditions en vigueur, consultez nos articles de blog ou suivez-nous sur nos réseaux sociaux.
Combien de temps dure un chantier d'installation photovoltaïque ?
La durée d’un chantier d’installation photovoltaïque dépend de la puissance à installer, de la complexité du site et du type de projet (toiture, bâtiment, ombrière, centrale au sol, etc.). En moyenne, pour un projet professionnel, les travaux durent entre 1 et 3 semaines.
Chez Picoty Solaire, nous maîtrisons l’ensemble des étapes en interne, ce qui permet une planification optimisée et des délais maîtrisés.
Dois-je gérer les démarches administratives ?
Non, Picoty Solaire prend en charge l’ensemble des démarches administratives pour vous faire gagner du temps et garantir la conformité du projet.
Cela inclut la déclaration préalable ou le permis de construire, la demande de raccordement, les contrats avec EDF OA ou Enedis, ainsi que le suivi des aides. Vous bénéficiez d’un accompagnement clé en main, sans complexité.
Comment joindre le service de maintenance ?
Vous pouvez joindre le service maintenance par téléphone en composant le 05 46 67 70 53, ou par mail à l’adresse suivante : contact@picoty-solaire.fr
Comment suivre l'avancement de mon projet ?
Vous pouvez suivre l’avancement de votre projet par téléphone en composant le 05 46 67 70 53, ou par mail à l’adresse suivante : contact@picoty-solaire.fr
nos conseils éco-responsables pour faire des économies
Éteindre les veilles
Des progrès importants ont été faits pour limiter la consommation des veilles : un règlement européen limite leur puissance à 0,5W pour un certain nombre d’appareils. Elle reste cependant de 2W pour les appareils connectés à Internet ou à des réseaux de données.
Éteindre les veilles peut permettre d’économiser jusqu’à 15 % de la facture d’électricité (hors chauffage et eau chaude), soit plus de 100 €/an.
Garder en veille les équipements audiovisuels et informatiques, les appareils de cuisson et le petit électroménager (cafetière, machine à pain…) n’est pas très utile. Débrancher une machine expresso (qui contient une veille cachée) permet d’économiser 3 à 4€ par an.
Pour les lave-linges et lave-vaisselles, les veilles servent souvent à détection des fuites d’eau et il n’est pas judicieux de les déconnecter.
Le bon geste : utilisez des multiprises à interrupteur qui permettent de brancher plusieurs appareils et de les éteindre tous en même temps.
Des LED, oui mais pas pour la déco
Les lampes à LED consomment peu d’électricité et durent longtemps (jusqu’à 40 000 h), de quoi compenser leur prix d’achat. C’est la meilleure solution d’éclairage domestique, à condition qu’elles durent plus de 20 000 heures et soient bien classées sur l’étiquette énergie.
Les lampes à LED permettent de jouer sur la teinte de la lumière pour créer des ambiances adaptées aux différentes pièces (cuisine, salon, chambre…). Préférez les blancs chauds de 2 700 à 3 500 kelvins pour le salon et les chambres et optez pour une lumière plus dynamique dans la cuisine ou la salle de bain (3 500 à 4 500 kelvins).
Attention à l’effet « LED de déco » qui apparait de plus en plus sur des meubles. Ces LED ne sont d’aucune utilité pour l’éclairage mais consomment pourtant de l’électricité.
Ne pas laisser allumer de lumières inutiles
Éteignez les lumières en sortant d’une pièce.
Privilégiez les couleurs claires pour décorer votre intérieur (murs, sols, abat-jour…) car elles réfléchissent mieux la lumière alors que les couleurs sombres l’absorbent.
Placez les canapés et bureaux près des fenêtres et profitez le plus longtemps possible de la lumière naturelle.
Privilégiez le programme « Eco » du lave-linge et du lave-vaisselle.
Le programme « Eco » permet d’économiser de l’eau et de l’énergie même si la durée du cycle est plus élevée. Le temps de trempage et le lavage est plus long mais l’eau est moins chauffée. Or, c’est le chauffage de l’eau qui consomme le plus d’électricité.
Attention à ne pas confondre le programme « Eco » avec le programme rapide.
Laver sa vaisselle à 50 °C ou avec le programme Eco consomme jusqu’à 45 % moins d’électricité qu’un programme intensif.
En n’utilisant que le programme Eco pour laver le linge, on peut économiser 15 % d’électricité. Et en choisissant le programme 30 °C, plus de 50 % d’électricité.
Attention cependant à faire fonctionner de temps en temps votre lave-linge avec un programme haute température pour éviter que le tuyau d’évacuation et le tambour ne s’encrassent (la lessive peut laisser des dépôts gras sur les surfaces surtout si on a tendance à surdoser).
Le programme « Eco », désormais noté « Eco 40-60 » sur les nouveaux lave-linges.
Ne faire fonctionner son lave-linge et lave-vaisselle que lorsqu’ils sont pleins.
La demi-charge du lave-linge consomme moins d’eau mais tout autant d’électricité ! Attendez plutôt que le tambour soit rempli pour faire fonctionner votre appareil.
Chaque ménage français effectue environ 200 cycles de lavage par an. En remplissant mieux le tambour, on pourrait éviter 30 cycles et économiser environ 15 % d’électricité pour le lavage du linge.
On se sert de son lave-vaisselle en moyenne 3 à 5 fois par semaine et 18 % des ménages l’utilisent même tous les jours. Autant le faire fonctionner uniquement s’il est plein.
Ne pas utiliser systématiquement le sèche-linge.
Si vous le pouvez, laissez sécher votre linge à l’air libre. Malgré les progrès réalisés par les fabricants ces dernières années, le sèche-linge reste un appareil ménager gourmand en énergie (environ 200 kWh par an).
Astuce : pour faire fonctionner votre sèche-linge moins longtemps, essorez bien le linge dans le tambour du lave-linge. L’extraction mécanique de l’humidité est 100 fois plus économe que l’extraction thermique dans le sèche-linge.
Cuisiner économe
Quand vous couvrez les poêles et casseroles, la cuisson est plus rapide. Pour faire bouillir de l’eau ou cuire votre plat, mettre un couvercle permet de consommer 25 % d’énergie en moins.
En éteignant le four avant la fin de la cuisson, vous pouvez économiser 10 % d’électricité.
En remplaçant votre vieille bouilloire par une bouilloire à thermostat, vous pourrez choisir la température de chauffage de l’eau. En chauffant l’eau à 80 °C et non pas à 100 °C, vous pouvez économiser 25 % d’électricité.
Limiter la taille et la luminosité de la TV
Des téléviseurs toujours plus grands entrent dans les salons, mais ils consomment plus d’électricité : un téléviseur de 160 cm (diagonale) consomme autant que 3 ou 4 téléviseurs de 80 cm.
En diminuant la luminosité de la télévision manuellement ou par contrôle automatique, vous diminuerez la consommation électrique de votre appareil d’environ 25 %.
Ne pas laisser branchés les ordinateurs et consoles de jeux quand vous ne les utilisez pas.
Souvent laissés en veille ou en pause, ces appareils consomment inutilement de l’électricité. Mieux vaut les éteindre complètement quand on ne s’en sert plus.
Éteindre la box quand vous n’en avez pas besoin.
Une box reste souvent allumée 24h/24 et peut consommer plus de 200 kWh par an, soit autant que le lave-linge.
Vous pouvez économiser environ 25 % de la consommation électrique de la box en l’éteignant la nuit.
Pour tout nouvel achat, vérifier l’étiquette énergie
Les économies d’énergie réalisables avec les appareils les mieux classés sont loin d’être anecdotiques. Chaque différence d’une classe représente de l’ordre de 15 à 20 % d’économie d’énergie. Sur la durée de vie d’un appareil, c’est important.
Economiser de l'eau chaude, c'est aussi économiser de l’électricité !
Ne laissez pas le mitigeur en position intermédiaire. C’est de l’eau tiède qui est utilisée à chaque fois alors que pour laver les légumes, se laver les mains, rincer son éponge… l’eau froide convient bien.
Installez des mousseurs ou des réducteurs de débit sur les robinets. Une douchette économe peut vous permettre d’économiser jusqu’à 75 % d’eau.
Ne laissez pas fonctionner le ballon d’eau chaude en période d’absence prolongée.
Régler la température du ballon d’eau chaude électrique.
Programmer la température à 55 ℃, c’est assez pour limiter le développement de bactéries pathogènes et cela limite la consommation d’électricité nécessaire pour chauffer l’eau.
Calorifuger les tuyaux et le ballon d’eau chaude.
En entourant le ballon d’eau chaude et les tuyaux avec un isolant, vous évitez des pertes de chaleur. Le calorifugeage est d’autant plus nécessaire lorsque le ballon d’eau chaude est installé dans un endroit non chauffé (garage, sous-sol…) et que les points d’eau sont éloignés du ballon d’eau chaude.
Maîtriser la température de chauffage des pièces
Il est inutile de chauffer toutes les pièces à la même température. Certaines pièces sont occupées toute la journée, mais d’autres, comme les chambres ou la salle de bain n’ont pas besoin d’une température élevée permanente. Autour de 19 ℃ dans les pièces à vivre, 17 ℃ dans les chambres, vous permettront de réduire votre consommation de chauffage.
Et pour plus d’efficacité, installez une régulation et une programmation du chauffage.
Bloquer les entrées d'air froid
Fermez les inserts de cheminées, les portes qui donnent sur des locaux non chauffés (sous-sol, cave, cellier…). Calfeutrez au besoin les portes, donnant sur l’extérieur ou sur des pièces non chauffées, avec des boudins pour bas de portes. En revanche, ne bouchez jamais les grilles de ventilation, elles sont essentielles pour maintenir une bonne qualité de l’air dans votre logement.
Baisser le chauffage en cas d'absence
Inutile de chauffer les pièces à la même température que si vous étiez là. Lors d’une absence pour la journée, baissez de quelques degrés la température de votre logement. Si vous vous absentez quelques jours, pensez à mettre votre système de chauffage en position hors gel.
Grâce à la programmation et à la régulation, vous pouvez adapter et anticiper vos besoins de chauffage. Certains systèmes connectés vous permettent même d’agir à distance.
Conserver la chaleur à l'intérieur
Fermez toujours vos volets dès que la nuit tombe et que les températures rafraichissent. Tirez les rideaux. Vous évitez ainsi que le froid rayonne dans le logement et l’ambiance de la pièce sera plus confortable sans avoir besoin de pousser le chauffage.
Lors de périodes de grand froid, gardez les volets fermés même en journée si vous n’êtes pas chez vous. Vous freinerez ainsi les déperditions de chaleur par les vitrages.
Installez un système d’appoint performant : le chauffage au bois.
Il existe un large choix de poêles fonctionnent avec des bûches ou des granulés qui peuvent vous aider à diminuer votre facture d’électricité en chauffant une partie de votre logement.
Isoler davantage son logement
Alors que le chauffage représente 66 % de la consommation d’énergie des ménages, il est essentiel d’éviter autant que possible les déperditions de chaleur du logement. Pour diminuer les besoins de chauffage (et réduire donc les factures !) tout en gagnant en confort, la seule solution est de vivre dans un logement bien isolé.